L’Égypte sera très certainement le principal adversaire des Diables. Le président de la fédération Hani Abourida a déclaré que le groupe était « équilibré mais pas facile comme certains le prétendent ». « Il n’existe pas de matchs faciles à ce niveau de compétition, toutes les équipes qualifiées sont fortes », a-t-il ajouté avant d’insister sur le fait que la sélection égyptienne abordera ce groupe avec un « très grand respect mais aussi avec l’objectif d’aller le plus loin possible et réaliser une participation historique ».
Amir Ghalenoei, le sélectionneur iranien, ne s’est pas mouillé. « Le football a progressé, il n’existe plus d’équipe facile. Notre groupe est meilleur que certains autres, mais nous n’avons pas le droit de considérer un adversaire comme facile. Nous devons entrer dans la compétition avec la meilleure qualité possible », a-t-il déclaré sur le site de sa fédération.
Enfin, Darren Bazeley sait que la Nouvelle-Zélande sera le petit poucet. « C’est un bon groupe, avec des équipes difficiles, mais nous savions que tous les matchs le seraient », juge-t-il dans une vidéo publiée par sa fédération. À côté de la Belgique, le sélectionneur des All Whites évoque ses autres adversaires. « Il y a aussi l’Iran et l’Égypte, que nous connaissons un peu pour l’avoir affrontée il y a quelques années. Quand on regarde de l’autre côté, il y aurait pu y avoir un tirage plus compliqué, mais cela reste un grand défi. »













